R0Y4L CaNaiN est à la fois Roi et Fou...
Nombre de messages : 6661 Age : 34 Localisation : Coincé dans un corps matériel... Date d'inscription : 17/05/2007
| Sujet: Re: La Véritable Histoire de Muurdarr/RoYaL CaNaiN Jeu 2 Aoû - 12:40 | |
| La Véritable Histoire de RoYaL CaNaiN, le Meilleur Marchand Ambulant au monde après le Père Noël (car le PN est gratuit ^^)ÉPISODE 1 : la mouette rieuse n'est que le reflet d'un kebab arrosé de mayonnaiseBon ok, j'avoue, le coup du titre de l'épisode qui n'a rien à voir avec ce qui suit c'est un peu classique. Mais comme c'est classique, c'est la dernière chose à laquelle on penserait pour faire un truc original. Aussi il est original de mettre un truc classique pour faire quelque chose d'original. (Qu'est ce que je peux être génial quand même).
Enfin bref, sachez qu'il y a plus 65 millions d'années, nous étions alors vers la période fin Crétacé, un tyrannosaure du nom de Lancelot (il s'agit juste d'une coïncidence ne vous en faites pas, il n'y a aucun rapport avec le guerrier moyenâgeux) dévorait paisiblement sa proie éventrée, lorsqu'il fut témoin d'une scène peu banale : la chute d'un gigantesque météore qui, précédé par sa spectaculaire queue de débris enflammés, provoqua lors de son impact un halo d'une lumière si puissante, presque pure, que notre grand reptile en fut aveuglé.
Puis quelques minutes suivant le drame, celui-ci retrouvait la vue, avant qu'un grondement; que l'on aurait prit pour le gémissement de la Terre blessée par le choc sidéral; fut tellement intense, que le monstre perdit toute acuité auditive. C'est alors dans le plus grand silence qu'il assista à l'apocalypse la plus totale : les arbres les plus fiers trônant alors depuis tant de générations, ces chênes si grands et si orgueilleux, durent se soumettre en quelques secondes et se courbèrent dans une des plus rares violences, leur branches, leurs épines volèrent en éclat pendant que les troncs implosaient, pour finalement voir leurs misérables cadavres balayés puis avalés par des colonnes de feux titanesques qui embrasaient à jamais le ciel bleu de cette journée ensoleillée. Notre lézard, n'eut pas le temps d'assister plus à ce spectacle sinistre, lui aussi fut rapidement désintégré, sa chair consumée par la température infernale... Finalement il aura échappé à une vison encore plus chaotique, celle d'un monde glacial plongé dans la plus absolue obscurité, où l'eau qui fut évaporée; à cause de la chaleur dégagée résultant des énergies misent en jeux lors de l'impact; retombait à flots, dans d'acides gouttes de pluie chargée de particules de poussières qui composaient les épaisses nuées d'un ciel noir uniforme éternel... C'est ici que commence notre histoire, car c'est à cette époque que les mammifères prirent le dessus sur le monde. Ils engendrèrent les hommes qui ne cessent encore aujourd'hui de dominer la moindre parcelle de terre. Mais les hommes oublient souvent à qui ils doivent réellement ce pouvoir : ils le doivent à de tout petits mammifères qui un jour ont su traverser le plus grand cataclysme de tout les temps : et ces petits êtres ne furent autres que les mulots.ÉPISODE 2 : Les barrages hydroélectrique sont une hypothèse tangible vers la porte de l'enferJe sais, je sais. Certains vont me dire : "une fois ca va, mais deux non". Et bien pour ceux qui douteraient, je leur dirait ceci : biberon. Mais bien plus encore : il est encore plus original de faire un coup classique plusieurs fois, et c'est pour cette raison que le titre de l'épisode 2 est par nature hors sujet à ce qu'il doit représenter....les mulots, c'était la lutte de toute une vie, c'était le combat d'un homme, et cet homme, c'était Muurdarr. Il devait faire reconnaitre au monde la vraie valeur des mulots, c'était sa raison de vivre, le ce pourquoi il vivait et continuait de vivre. Assis dans l'herbe il repensait aux prouesses antiques de ces braves animaux et se désolait du peu d'intérêt que leur prêtaient les humains. Maintenant il était un nain peut être qu'eux allaient le comprendre et surtout comprendre toute la force du mulot, peut être que leur petite taille allait avoir raison de ce mépris et que l'idée d'une créature aussi exceptionnelle puisse t'être plus accessible pour eux... En attendant, il regardait avec étonnement son couvercle de bocal de cornichons, qui lui avait été donné lors de sa nanification. Il lui avait été certifié que le simple fait de posséder ce type de couvercle ferait de lui un nain incontestable et parfaitement intégré. Aussi il ne faut jamais le donner de son plein gré, car vous ne seriez plus vraiment un nain. Et si on vous le vole aucun problèmes il sera considéré toujours comme vous appartenant, et si il est détruit aucune importance.
Toujours est il qu'il était un nain, et qu'il se devait comme tout nouveau nain, d'accomplir l'un des 12458,12 travaux de Melbin-le-Petit , et Muurdarr se demandait bien à quoi ces travaux pouvaient l'aider à accomplir sa noble quête. Sur les 12458,12, il avait choisi d'affronter "Chat", un chien surpuissant, un monstre errant dans le vaste monde en quête de dévastation, un fléau pour tout les peuples de ce monde.
("Chat" le monstre chien à forme de iule)
C'était aujourd'hui qu'il devait se mettre en route pour atteindre les terres reculées de bronze, lieu de résidence favori de la bête : là où les terres étaient propices à la culture du houblon (d'ou son nom terre de bronze) et où la créature allait se désaltérée en pillant les réserves de bierre. Il dût alors se résoudre à fermer sa petite épicerie pour raisons exceptionnelles, puis partit, accompagné de Jomy son fidèle ami mulot. Au bout du compte, il se disait que c'était ce qu'il désirait de l'aventure, il avait était lassé de combattre derrière un fauteuil en cuir, le cigare à la bouche avec pour bruit de fond le poste de télévision retransmettant la bourse intergalactique. Il marchait à l'aventure, et il était heureux, il marchait de hameaux en hameaux pour finalement se rapprocher de plus en plus de son but : les terres de bronze... ÉPISODE 3 : la mouette rieuse n'est que le reflet d'un kebab arrosé de mayonnaiseVous vous demandez sûrement pourquoi le titre de l'épisode 3 est identique au titre du premier épisode ? Et bien vous avez raison, parce que tout simplement il n'est pas dans vos habitudes d'assister à une telle situation. Le titre est en fait le même, avant tout dans un soucis d'originalité, d'esthétique, et d'improvisation que seul un artiste aussi compétent que moi peut réaliser, illustrant une certaine redondance des événements constitutifs des chroniques de notre héros, sans cesse confronté à la vision d'un monde parsemé d'anachronismes, mis à l'épreuve dans des situations des plus invraisemblables, se voyant forcé d'évoluer dans un environnement aussi bien anarchique qu'imprévisible. Mais bien plus encore : Muurdarr, à la fois schizophrène et impulsif, représente un monde à lui seul. Aussi le corps du récit s'enroule sur lui même, est comparable à une fractale, où certains passages du récit s'emboitent les uns les autres, présentent des similitudes plus que flagrantes, générant ainsi des liens entre les divers faits rapportés. Nous tenons là toute la quintescence même de l'esprit de l'auteur, qui souhaite avant tout proposer à son lecteur la vision d'un monde différent, à la fois de manière naïve puis d'autres fois sous un regard plus critique, aboutissant à l'écriture d'un univers particulier, d'apparence différente, mais pas méconnaissable, laissant au lecteur le loisir de découvrir par la suite combien cet endroit mystérieux n'est en fait que le reflet déformé du monde réel. Enfin voici notre héros sur le chemin de la bataille, Armure en mitril et chargé de mitraille, Armé de courage, alors que la rage le tiraille, ses pensées focalisées sur cet ennemi de taille, Attention petit homme, tu n'es pas sans failles, tension au maximum, et toi tu t'endort et baille...
Petit homme qui marche sans cesse, Comme un chien laissé sans sa laisse, Traverse et erre le long des routes, Aucune averse ne te déroute, Avancer, avancer, coûte que coûte même happé, harcelé par le doute,hanté par l'idée de n'être qu'un vulgaire sacrifice, partir à la guerre paralysé par le maléfice, et la peur de perdre, prend place : suprême supplice !
Chaque pas te brûle, et ton passage relève du miracle, face aux mirages qui te font barrage, te rendent barge mentalité malsaine, malade et schizophrène il faudra lutter contre toutes ses peines, A peine conscient de son état critique comme un coup d'état dans un régime démocratique, c'est en tombant de la manière la plus brute que tu entraine dans ta chute les raisons de ta lutte ! Le héros fait un gros "dodo" !S'en suit un éveil délicat, situation pénible se voir servir d'encas, être pris pour cible par le monstre que l'on devait vaincre Peser le pour et le contre est vain, c'est comme aller l'encontre du ravin qui sépare les dieux des êtres humains comment faire mieux comment faire bien quand le juste milieu est si loin partons trouver l'aiguille dans la meule de foin... et les événements subitement s'emballent, voilà que la chimère prend la parole, chacun de ses mots te mettent à mal, mais qui écrit le script et qui distribue les rôles ? ...
"Laisse moi rire, insignifiant mortel, essaie tu de mourir, toi si indigne et si frêle à force de frôler l'avalanche elle t'avale, tu t'affole, flanche et t'affale, rien n'est étanche, tout est friable, puisqu'on n'étanche pas la soif d'un diable pas de revanche possible dans cette fable où le récit penche vers l'impensable : dans le feu de l'action tu inhale la poussière sale, qui t'efface et alimente la tempête de sable...
Non, je n'ai pas peur de me sentir minable, face à un nabot qui me parle de faire le ménage, ménage donc ton cerveau, c'est l'heure de passe à table l'erreur est que cerveau et cervoise ne font pas bon ménage petit vaurien tu ne voit donc pas plus loin que ton visage, et rien ne vaut une broche de nain blottie dans mon oesophage comme si ton avenir m'était présenté dans une assiette, que je vais prochainement saisir avec ma fourchette, ton destin consommé jusqu'a la dernière miette, dans l'intestin, prisonnier de la bête...
Je suis un être éternel, bercé par la haine, tu sais, les terres éthérées sont toutes mienne, ce que tu concois me décois, m'attire et m'emmène, vers le chaos, aucune éthique ne m'arrête ni me frêne entend l'écho de la rancune mythique, la réaction en chaîne, qui t'enchaîne, et t'entraine vers une incertaine arène, où règne le lion qui te mord, chacun de ses coups te saigne, tu ne rêves pas, les liens qui te ressèrent font partit de la scène, avant que ne s'assèche la sève qui coule dans tes veines..."
EPISODE 4 : titre de l'épisode 4.
ATTENTION ! CE TEXTE EST EN COURS DE REALISATION, VEUILLEZ NE PAS POSTER JUSQU'A CE QUE SON AUTEUR EST DECRETE QUE CE TEXTE ETAIT FINI. MERCI DE VOTRE COMPREHENSION... | |
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